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Par lcath le 19 Février 2014 à 17:46
Et un autre marathon au programme de l'hiver suédois
le week end du 21 / 23 février , tout est ici : février en Suède
Un vrai marathon pour moi puisque je serai en stage à Lyon chez : merveilles en papier Laetitia Miéral pas certaine de faire aussi bien mais je vais patouiller ...
du coup je n'ai choisi que deux titres ça me parait plus raisonnable :
à suivre......
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Par lcath le 15 Février 2014 à 17:45
Deux couples "bobos" ,voisins , sympathisent , deviennent amis , ont des enfants en même temps , apéros, repas , anniversaires ensemble .... et puis un drame : l'un des couples voit son enfant mourir .
Là tout bascule , la douleur , le chagrin , les secrets ... et la vie se teinte de noirceur et s'anime d'horreurs ...
Un bon petit thriller , qui m'a fait oublié le quotidien pendant sa courte lecture (2h), pas vraiment inoubliable mais un bon moment .
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Par lcath le 15 Février 2014 à 17:35
Deux titres que j'ai emprunté et finalement pas terminé parce que les romans moyens ça finit par me lasser , particulièrement pour des polars .... J'attends d'un polar ou thriller d'être "prise" par ma lecture même si ce n'est pas un chef d'oeuvre et quand je m'ennuie à un tiers du livre ça ne va pas !
Les "condamnés" sont :
Les poètes morts n'écrivent pas de romans loliciers Bjornn Larsson
La double vie de Laura Swan de Benjamin Black
Après ne les ayant pas lus ,je ne les critiquerai pas , je dirais seulement que la rencontre entre l'auteur et la lectrice ne s'est pas faite .
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Par lcath le 9 Février 2014 à 18:13
Un polar qui me laisse sur ma faim, pas mauvais mais pas palpitant ....
Une jeune fille noire de Harlem, échappe à une tentative de meurtre , elle est prise en charge par la police qui va et la protéger et enquêter . Les indices sont plus que minces et les tentatives de meurtre contre Geneva Settle , perdurent, mettant à rude épreuve l'enquêteur principal : Lincoln Rhyme , dont la particularité est d'être tétrapligique .
L'histoire elle même ne m'a pas emballée , trop de pistes( pour certaines semées un peu au hasard , il me semble ), une compléxité inutile , , une fin qui ne tient pas , trop excessive ...La façon de raconter avec beaucoup de détails techniques , d'explications pour que l'on puissent comprendre , coupe le récit , l'alourdit ( un peu comme le commentaire off des films pour mal-voyants) .... et à côté de ça , les personnages sont très réussis dans l'ensemble , crédibles et intéressants ;
Un avis mitigé donc sur ce roman qui n'a pas réussi à me séduire .
Je suis un peu surprise car j'avais lu de bons billets sur Deaver , peut être n'a- je- pas lu le bon ? ou , ou ....je deviens difficile ....
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Par lcath le 5 Février 2014 à 14:43
Lu du bon et du moins bon en ce début d'année .... une découverte Maria Esternam j'aime beaucoup les états d'âme de ses personnages .
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Par lcath le 5 Février 2014 à 12:36
Un criminel déguisé en diable s'attache à détruire physiquement avec beaucoup de violence les couples mais aussi moralement en poussant l'un à abandonner l'autre ...
Un vieux flic ,John Mercer, usé , ayant subi une grave dépréssion qui l'a tenu éloigné plusieurs années de son métier se voit accompagné d'un jeune flic admiratif , Marc Nelson sur cette enquête .
Les façons de procéder et d'être de Miller , trichant pour conserver l'affaire , vont mettre à mal son équipe qui hésite à lui faire confiance .
Les histoires personnelles des deux flics principaux vont croiser et nourrir les délires du meurtrier qui va se jouer d'eux aussi longtemps qu'il le pourra .
Un bon roman mais en dessous des deux autres que j'ai lu de Mosby .
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Par lcath le 29 Janvier 2014 à 11:48
"Le peigne de Cléopatre" m'a laissé un arrière goût si agréable qu'il fallait que je lise un autre roman de Maria Esternam , et bien c'est fait avec "Les oreilles de Buster"
Ce roman est encore meilleur que l'autre à mon avis . Elle raconte très bien les familles bien propres qui cachent des dysfonctionnements plus ou moins glauques....
Pour ses 56 ans Eva reçoit de sa petite fille un journal intime dont la couverture est une rose car Eva a une passion pour la culture des roses .
Eva se met à écrire chaque nuit dans son journal , elle remonte le temps , et nous la suivons dans ses souvenirs d'enfance , d'ado , de jeune femme .....
Il ne faudrait pas que j'oublie les personnages secondaires qui vivent autour d' elle et qui ont toute leur place dans le récit .
Un très bon roman pour moi ,qui de plus , croise avec mes préoccupations du moment....
Tous les titres de cette auteure ne sont pas traduits en français , dommage , mais il en existe encore un que je vais essayer de trouver .
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Par lcath le 26 Janvier 2014 à 12:27
Un court ( trop court ? ) roman où deux mondes se croisent : blancs riches et noirs pauvres.
Présenté ainsi on pourrait s'attendre à un ensemble de clichés mais non , les différences , les enjeux, sont montrés finement à petites touches .
Difficile pour Victoria ,jeune femme noire , sans famille , de choisir l'avenir de fille Mary , enfant mixte blanc riche / noire pauvre . Dans quel "clan" doit elle pousser sa fille , que deviendra son second enfant qui n'a pas le même père .... Victoria fait face à la vie sachant que le chemin qu'elle choisit pour sa fille ne sera pas facile .
J'ai été déçue par ce livre, j'attendais à chaque page quelque chose (quoi je n'en sais rien ) et non la narration continue sans que l'on sente une montée du récit ..; Ce récit est court peut être est-ce pour cela ?
Pour le prochain Doris Lessing , j'ai choisi :Un enfant de l'amour , plus long j'espère que ce sera une bonne lecture .
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Par lcath le 26 Janvier 2014 à 11:53
Une sdf qui "enfume " de temps en temps les clients d'hôtels de luxe se retrouve mêlée au meurtre de son dernier pigeon : elle est la dernière femme que l'on a vu avec lui de son vivant .
Commence alors pour Sibylla une longue et difficile fuite qui la ramène à son passé et au meurtrier .
Un polar (bof) un thriller plus. Un contenu plus psycho qu'enquête et beaucoup moins fouillé que Ténébreuses que j'ai beaucoup aimé . Là , on retrouve les secrets de famille , la notion de norme ( dans Ténébreuses c' était plus le bien et le mal ) mais les 270 pages ne permettent pas une exploration fouillée sans compter que l'intervention d'un ado pour résoudre l'enquête tombe un peu comme un cheveu sur la soupe !
Elle est présentée comme l'équivalent féminin de Mankell , je trouve cette comparaison exagérée même si j'ai apprécié Ténébreuses .
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